Gwen Membre
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| Sujet: Guillaume Mer 21 Jan 2009 - 18:34 | |
| Tu aimes l'autre sans réserve, toujours prêt à aider ou à soulager la douleur. Tes amis sont ton trésor, et tu ne laisseras jamais rien leur arriver. Tant de bonheur à tes côtés.Gardien de notre sécurité, tu es notre protecteur résolu selon ton origine Unique et irremplaçable, nous avons toujours besoin de toi Intuitif, tu cernes chaque situation et chaque personne L'amour que tu portes aux autres ne semble pas avoir de limite, jamais tu ne Laisseras un ami au bord de la route tant ta compassion est grande, tu Arranges tous les conflits grâce à ton savoir-faire de médiateur, en Un clin d'œil, nos soucis semblent s'évaporer quand tu es à nos côtés Ma gratitude envers toi est grande, tant tu donnes joie, tendresse et bonheur Et pour toujours tu offre ton amitiéFête : le 10 janvier Étymologie : Guillaume est formé du germanique wil, la volonté, et de helm, la protection Parmi les nombreux prénoms composés à partir du vocabulaire germanique, c'est peut-être le plus populaire et le plus répandu depuis le haut Moyen Âge, dans la plupart des pays occidentaux. Il apparaît au VIIe siècle et se diffuse rapidement dans les classes aristocratiques, sur le continent d'abord, puis en Grande-Bretagne, dans la foulée de Guillaume le Conquérant et de ses Normands. Son succès n'a pas connu d'éclipse depuis lors, dans aucun des pays qui l'avait adopté. Il a souvent figuré au palmarès des prénoms masculins, en Angleterre comme en Allemagne ou en France. Ses périodes de décrue ont été suivies de vives remontées. Aujourd'hui, en France, si l'on comptabilisait avec Guillaume ses variantes les plus attribuées, Guilhelm, William, Willy et Liam, il ferait certainement partie du palmarès des prénoms masculins les plus attribués. On compte sept saints du nom de Guillaume. Celui qui a été choisi pour patron était un grand aristocrate du XIIIe siècle, cistercien à l'abbaye de Pontigny, puis abbé de Châlis, près de Sens (Yonne). En 1200, il fut nommé évêque de Bourges (le plus important diocèse de France à l'époque) et se révéla un modèle d'humilité, de douceur et de charité. Mort en 1209, il fut canonisé par le pape dès 1218.
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